Prenez le temps dont vous avez besoin

⏱ Est-ce que tu penses à prendre du temps pour toi ?

🌥 Tu ne t’es jamais dit que les journées sont trop courtes ?

La question elle est vite répondue

📱Aujourd’hui, on vit à toute allure, toujours plus connectés et avec toujours plus d’intensité (sauf pour les procrastineur évidemment) 🏖

Découvrez Armelle d’Adage Coaching qui est venue nous parler de comment faire pour prendre du temps pour nous 

En Vrai :  Comment t’as eu l’idée de créer Adage Coaching ?

Armelle Girand : « J’ai commencé à avoir l’idée de faire autre chose, déjà quand je suis devenue directrice de SEGPA, j’ai fait autre chose par rapport à ce que je faisais. Et quand j’étais CPE je faisais tout un tas de trucs aussi : je faisais de la préparation concours… Parce que j’aime bien faire pleins de choses différentes. Quand je suis allée en SEGPA c’était déjà quelque chose de complètement différent, donc j’ai eu l’impression que j’étais partie pour un bon moment. Et puis en fait non. Il y avait toujours quelque chose qui me titillait. Donc là j’ai commencé à chercher, à gratter, à regarder sur internet quels étaient les métiers de l’accompagnement. À cette époque-là, je connaissais quelqu’un qui suivait un coaching pro dans le cadre de sa boîte, et j’ai pu rencontrer le coach qui l’accompagnait ; et ça a été une vraie révélation. Alors que j’avais un peu des idées reçues sur ce qu’est un coach, j’ai découvert un vrai métier, une vraie personnalité, une vraie façon de faire, et surtout un cadre hyper professionnel. »

 

En Vrai : Adage Coaching c’est quoi ?

Armelle Girand : « Moi je suis pas thérapeute. C’est ni de la thérapie, ni de la formation, c’est vraiment un accompagnement auprès d’une personne qui est dans une démarche de progression, ou de changement qu’il ou elle a du mal à vivre. C’est un accompagnement dans une démarche de progression. »

 

En Vrai : Comment tu fonctionnes ?

Armelle Girand : « Le coaching c’est long, mais ça a un début et une fin, c’est-à-dire que ça n’a pas vocation à durer pendant 3 ans par exemple. Le maximum que je fais c’est 12 séances. Mais on peut faire plus, ça peut être renouvelable en fonction de la demande. Moi je propose 3 séances, 5 séances, ou 12 séances. 12 c’est plutôt quand il y a une demande d’une entreprise ou d’un dirigeant qui a besoin d’un accompagnement particulier. Quand tu as 12 séances tu explores vraiment tout, c’est l’idéal, c’est l’accompagnement caviar. Mais tout le monde n’a pas le temps de le faire. Mais c’est vraiment l’accompagnement caviar parce que tu explores absolument tout ce qui fait la vie de ton client. Et en explorant tous les domaines de vie de ton client, tu fais émerger toutes les valeurs, tous les besoins, etc. Et ensuite quand tu te consacres à l’objectif, et que tu détermines un plan d’action, parce que le but c’est de mettre ton client en action par rapport à l’objectif, tout ce que tu as travaillé avant (sur tes modes de communication, sur tes valeurs, sur tes besoins…) ça te sert. T’as toutes les cartes en main, c’est plus facile. Après quand t’as 3 ou 5 séances, c’est possible aussi, mais forcément l’exploration elle est plus courte. Ça dépend vraiment de la demande et puis du public. Les jeunes par exemple je leur propose 5 séances, renouvelables ou pas, en fonction de leur demande au départ. Un jeune de 17 ans si tu lui dis que tu vas le voir 10 semaines de suite, il n’est pas toujours hyper satisfait tu vois, il aime bien quand même que ce soit vite réglé l’affaire. Donc moi je m’adapte aux besoins de la personne et je fais un accompagnement qui est vraiment sur-mesure. »

En Vrai : Tu proposes quoi comme formules ?

Armelle Girand : « J’ai des offres aux particuliers et des offres professionnelles. Pour les offres aux particuliers j’ai : du coaching de vie, mon parcours artistique « supplément d’âme », une offre de coaching en duo (c’est un parcours sur un mois qui est vraiment fléché confiance en soi et qui s’adresse à des personnes qui n’ont pas envie d’aller se faire coacher toutes seules), et j’ai le coaching scolaire ou d’orientation. Pour les offres professionnelles j’ai du coaching d’entreprise, qui comprend du coaching individuel ( qui peut être du coaching de dirigeant, de chef de service, de l’accompagnement à la prise de poste, le respect de l’équilibre pro/perso, la solitude du dirigeant qui est une vraie problématique d’entreprise, etc) et puis il y a aussi du coaching collectif où là on est sur de l’accompagnement d’équipes : pour aider une équipe à communiquer mieux, à aller mieux, enfin voilà ! »

 

En Vrai : Et du coup tu coaches n’importe quels types de personnes ?

Armelle Girand : « Il y a des gens qui choisissent une cible plus particulière parce qu’ils préfèrent travailler avec des gens. En général c’est ce qu’on conseille de faire et c’est ce qu’on nous a conseillé à l’école. Moi j’y arrive pas parce que il y a trop de sujets qui m’intéressent, il y a trop de gens qui m’intéressent. Je me dis qu’offrir un regard bienveillant et un temps pour que les gens s’interrogent et avancent, c’est quelque chose qu’on peut offrir à tout le monde, et qu’on peut offrir dans un contexte professionnel ou dans un contexte privé. On peut être dans une démarche de progression dans son boulot, mais on peut aussi être dans une démarche de progression dans sa vie. Les jeunes ils peuvent être dans une démarche d’adaptation à une nouvelle école, à une nouvelle scolarité, dans une réflexion sur leur futur… Je veux pouvoir offrir ça à plein de gens différents, qui vont se dire qu’ils ont besoin d’un temps et qu’ils ont envie que ce soit avec moi. Y compris les plus âgés, parce qu’on se demande quelquefois si les plus âgés ont besoin d’aller réfléchir sur eux, mais c’est tellement riche les échanges avec eux ! Il y a un vrai coaching des âges. On coache pas du tout de la même façon quelqu’un qui a 20 ans et quelqu’un qui en a 70. »

 

En Vrai : Si on a besoin de ton aide on fait comment ?

Armelle Girand : « J’ai un site internet : adage-coaching.fr, j’ai Instagram, Facebook, Linkedin, j’ai un numéro de téléphone où vous pouvez m’appeler directement, c’est très très facile ! »

Julie Barreno
Julie Rédactrice